Des initiatives
de coeur au profit
des jeunes
À l’origine, la Fondation Néz pour vivre a été mise sur pied pour venir en aide aux jeunes adultes atteints de cancer. Pendant plusieurs années, nous avons travaillé avec acharnement pour cette cause.
Puis, comme le temps change, notre Fondation a aussi évoluée. Nos nombreuses rencontres nous ont démontré que les jeunes parents atteints de cancer n’étaient pas seuls dans la maladie, et que trop souvent, leurs enfants souffraient en silence. Le besoin criant étant trop fort pour l'ignorer, c’est ainsi qu’en 2021, nous avons modifié notre Charte pour pivoter vers les jeunes en difficulté.
Nous gardons toujours un lien fort avec notre mission de départ, mais notre appui se fait différemment, soit par le biais d’un don récurrent à la Fondation Louis-Philippe Janvier. Louis-Philippe était non seulement un grand ami de la Fondation, mais également un membre fondateur. C’est avec Louis-Philippe que nous avons pensé et créé l’image, le nom et le logo de Néz pour Vivre. Nous avions de grandes ambitions mais sa maladie l’a malheureusement emporté en 2013.
Menée par
une femme
de coeur
Francine Laplante est une femme de coeur, et d’action! Touchée par le périple de son garçon François-Karl qui a reçu un diagnostic de cancer des ganglions lymphatiques à l’âge de 5 ans, Francine a fondé Néz pour vivre dans le but d’améliorer les soins et les protocoles de traitements pour les jeunes atteints de cancer.
En plus d’amasser des millions de dollars pour la Fondation, elle a aussi lancé la première chaire de recherche au Canada en cancer pédiatrique, la chaire François-Karl-Viau, et a accompagné une cinquantaine d’enfants malades dans leurs derniers instants de vie.
Notre lien avec les
jeunes atteints de
cancer demeure
La Fondation Louis-Philippe Janvier vient en aide aux jeunes adultes de 18 à 35 ans atteints de cancer qui ont des besoins financiers, personnels, sociaux et professionnels spécifiques et différents de ceux des adultes matures.
La Fondation Louis-Philippe Janvier les aide donc à rattraper un peu leur souffle, leur offrant un répit en réduisant le stress lié aux soucis extérieurs de la maladie et leur permettant ainsi de se concentrer sur leur traitement, leur bien-être, leur guérison.
